les précurseurs
|
Kôdô Sawaki (1880 – 1965) était surnommé le Maître sans demeure. Il parcourut seul le Japon, y fondant de nombreux dojos (lieux de méditation), afin de redonner vigueur à la pratique du zazen de l’école Sôtô. Gravement malade, il se retira cependant au temple d’Antai-ji qu’il avait transformé en lieu de pratique pure. |
|
|
Kôshô Uchiyama Roshi (1911-1998), prit la succession de Kôdo Sawaki en qualité d’abbé à Antai-ji. Il insista sur une transmission du zazen très épurée, où les à-côtés de la pratique assise, y compris l’emploi du kyôsaku, étaient considérés comme des « jouets ». |
|
|
François-Albert Viallet ou Soji Enku (1908-1977) fut le seul héritier français, mais également traducteur de Kôshô Uchiyama avec qui il avait établi une relation très forte. |
|
|
Maurice Suère (1912-1993), reçut la transmission de François Viallet, malgré ses fonctions de prêtre catholique. |
© Groupe de Méditation Zen de Marseille






